Pourquoi proposer ces compléments alimentaires ?
Notre compréhension des équilibres alimentaires nécessaires au bien-être nous a amené à concevoir des compléments alimentaires répondant à des impératifs extrêmement rigoureux qui reposent sur :
- une analyse de la concentration des principes actifs
- une polyphytothérapie alternative et combinatoire
- une analyse des passages intestinaux
- des tests cliniques
Le Dr. Bruno ETO, Professeur en Sciences du Médicament à la Faculté des Sciences Pharmaceutiques et Biologiques de Lille, a mis en place un protocole d’expérimentations qui valident en plusieurs étapes et à différents niveaux chacun des compléments alimentaires que nous vous proposons.
L’alimentation doit permettre d’atteindre les apports journaliers recommandés
Pour comprendre l’intérêt de cette série d’expérimentations repartons de l’aliment :
Quelle que soit la connaissance du nutritionniste sur les apports en nutriment des aliments et leurs complexités de fabrication, il reste de nombreux facteurs sur lesquels il ne pourra agir et qu’il ne pourra pas même anticiper. Ce sont des facteurs physiologiques de diverses natures. Ils peuvent être communs, personnalisés et/ou individuels, atypiques ou transitoires. Prenons à titre d’exemple les deux facteurs biologiques que sont la digestion et l’absorption intestinale que le nutritionniste ne pourra maitriser :
La digestion prépare l’aliment à être assimilé
La digestion permet de transformer tous les aliments que nous consommons en nutriments qui sont les seuls capables de franchir la barrière intestinale. Cette digestion dépend de la capacité physiologique individuelle de l’organisme. Une « capacité physiologique » produit et sécrète non seulement les enzymes impliquées dans la transformation des aliments (peptidases, amylases, glucosidases) mais aussi d’autres produits chimiques comme l’acide chloridrique au niveau de l’estomac, le bicarbonate au niveau du duodénum ou encore les acides biliaires qui contiennent de l’acide taurocholique qui intervient dans l’émulsion des graisses.
Cette complexité brièvement et partiellement exposée souligne à l’évidence qu’une mauvaise digestion ne permettra pas d’atteindre les objectifs et ce quelle que soit la richesse et la complexité de nos apports.
L’absorption intestinale des nutriments
Le passage des nutriments à travers la barrière intestinale (biodisponibilité intestinale) dépend essentiellement de 2 facteurs :
- la quantité du nutriment (oligoélément ou autre xénobiotique…) dissout dans l’eau au lieu de passage
- l’état de la membrane intestinale. (La Recherche a démontré que l’épaisseur du mucus, les infections et l’inflammation de la muqueuse intestinale peuvent influer sur la biodisponibilité de la membrane intestinale).
Pour réduire ces incertitudes et atteindre les Apports Journaliers Recommandés (AJR) par l’Organisation Mondiale de la Santé, en prenant en compte l’état physiologique propre à chaque personne, Action-Vitale propose une gamme de compléments nutritionnels dont les voies de passage au travers la paroi intestinale sont testées. Ainsi les sous-dosage comme les surdosage aux effets collatéraux sont évités.
Des compléments nutritionnels pour atteindre les recommandations de l’OMS
Action-Vitale a mis au point des compléments nutritionnels sous forme de gélules qui permettent d’atteindre les recommandations de l’OMS. Ces gélules répondent également à des besoins spécifiques liés à des besoins ou habitudes de consommations. Ces besoins ou habitudes de consommation peuvent être liés à des pratiques sportives, un surpoids, le véganisme ou une contrainte passagère (règles, stress, etc.)
Ces compléments assurent :
- d’apporter au niveau du site de passage intestinal la quantité des nutriments, oligoéléments, vitamines dont nous avons besoin quotidiennement.
- que la quantité qui passe la barrière intestinale (biodisponibilité) est celle qui est mieux adapter aux besoins de chaque individus et ceci par l’ajout du promoteur naturelle du passage des nutriments et des xénobiotiques à travers la barrière intestinale.
- qu’il n’existe pas d’interaction négative de type food-food, drug-food, herb-food grâce aux expérimentations menées en « chambres de perméations d’Ussing ».
